L’administration a fait jouska certaines personnes manquent le respect aux chefs traditionnels.

On parle komxa à cause de ce ki s’est passé dans le village Ngovayang II dans l'arrondissement de Lolodorf au Cameroun. Le chef du village a bloqué un grand chercheur venu de l’Université de Louvain en Belgique passkil est entré dans son village sans visa.

Les gens ki comptent sur le ngomna pour faire nimporte koi dans les villages-là, sachez keu chaque village a un chef et le chef doit être la première personne keu vous rencontrez avant de faire nimporte koi dans le village. C’est l’administration qui a fait jouska certaines personnes manquent le respect aux chefs traditionnels et coutumiers.

Eskeu c’est compliqué de passer saluer un chef du village et lui dire la raison de votre présence dans le village ? Kan les gens pensent keu kom ils sont en ville ils peuvent venir au village faire nimporte koi sans s’annoncer à ki de droit, xa fini mal. Pourkoi ne voulez pas passer dire bonjour au Chef. En lui disant xa vos poches vont se trouer ? C'est kelle façon dètre dur xa?

Ce kon vous dit peut vous sauver. Vous voyez les chercheurs kon na tué kelke part au nord du Cameroun-là. Sils avaient dit au chef du village kils sont là, eskeu kelkun devait les soupçonner kils sont les boko haram ? donk il faut changer un peu. Vous avez vu le préfet ? Vous avez vu le sous-préfet ? Vous avez maim vu le maire ? C’est pour vous laba. Voyez le chef, maim le chef de quartier. Ils ne vous demandent rien. Voyez les pour leur dire keu vous êtes chez eux. Passkeu vous pouvez marcher chez kelkun jouska on entend keu vous avez volé le totem de kelkun pour fuir aveuk.

Dans un village, un jour, le chef est resté dans son palais jouska des individus sont venus dans la voiture de l’Etat pour lui dire kils sont envoyés pour inspecter l’usine en cessation depuis et kon veut déjà réhabiliter jouska le gouvernement a déjà obtenu un prêt de la Banque Africaine de développement pouxa. Le chef était content jouskaaa. En disant komxa les gens-là sont allés démonter le générateur et d’autres moteurs de l’usine pour fuir aveuk.

Quand ils ont laissé le chef, puiskil était très content, le chef a pris son téléphone pour appeler le Ngonmna pour lui dire merci kom on a envoyé les gens pour étudier koman on va arranger l’usine. Ngomna a répondu kil n’est pas au courant d’un projet komxa. Cè là keu le chef et ses notables ont couru pour aller trouver les gens-là sur le terrain, en venant ils ont trouvé keu les gens-là avaient déjà tout enlevé jouska disparaitre.

Donc cette anecdote pourkeu les gens apprennent à comprendre kil nya pas de totem kon doit mettre dans leur ventre kom ils ont rendu une visite de courtoisie au chef du village. Ce n’est pas passkun morceau de bois est tombé dans l’eau kil va devenir le crocodile.  Donk l’africain qui est  parti en Europe ne doit pas oublier les mœurs de son village. Tu ne peux pas entrer dans la maison d’autrui sans toquer à la porte. Keu c’est ta maison ? maim si c’est ta part tu tousses un peu pour chasser les mauvaise odeur qui est entrée kan tu n’étais pas là noor.

Boris Bertolh dit keu jeudi 12 juin 2025, Dr Jean NKE NDIH (en image) Chercheur à l'Université Catholique de Louvain, citoyen belge, a été agressé par M. MVELE ASONGMONI Evariste Noel. Le Chercheur-là est « Codonateur d'un projet de préservation du Bubinga (arbre sacré dans les forêts du bassin du Congo) dans la zone de Bibindi Lolodorf  depuis février 2024, cet arbre est menacé de disparition suite à une exploitation abusive par les populations qui lui trouvent des pouvoirs mystiques. »

Kan le chef a appris kil ya un type chez le patriarche (93ans) qui lui pose les kestions sur les secrets du Bubinga, il a débarqué dans la maison du vieillard avec ses gros bras demander au chercheur de lui présenter le visa d'entrée dans son village. kom le chercheur a commencé à rire en lui a demandant s'il y avait déjà des visas à prendre pour aller dans un village au Cameroun, le chef s’est ducou fâché. Il a pris le téléphone renfermant toutes les données du projet et l'a cassé.

Komiaza