Nous sommes cette génération qui ne reviendra plus.

Nous sommes cette génération qui ne reviendra plus.

Celle qui rentrait de l’école à pied, cartable sur le dos et cœur pressé… non pas pour se plonger dans un écran, mais pour finir vite ses devoirs et courir retrouver les copains dehors.

Celle qui jouait à cache-cache jusqu’à la tombée de la nuit, qui transformait une simple feuille en avion, une ficelle en cerf-volant, et pour qui une bille brillante valait un trésor.

Les rues étaient nos royaumes, et les trottoirs, nos terrains de jeu.

On gardait nos souvenirs dans des albums photo, pas dans des dossiers numériques. On appelait nos parents « maman » et « papa », et non « les darons » ou « les vieux ».

Le soir venu, on chuchotait sous la couette, espérant que nos secrets échangés avec nos frères et sœurs ne soient pas surpris par une oreille parentale.

Cette génération s’éloigne, doucement mais sûrement… laissant derrière elle une lumière douce, des souvenirs figés dans le cœur, et le parfum d’une époque simple, tendre et inoubliable.

Nous avons connu la vraie jeunesse. Et surtout, nous l’avons vécue à fond.

Très peu de petits traînent encore dans les rues, et jouent avec les copains. Tous sont derrière leur clavier, tous sont scotchés à leur téléphone. Ils n’ont plus d’intimité et de confidents.

Chaque génération est le fruit de son époque ! Dans 30 ans, les jeunes d’aujourd’hui diront la même chose. Les souvenirs changent tout simplement de forme, mais le cœur reste le même. Je suis triste pour mes enfants et petits-enfants qui évoluent dans un monde aussi perturbé.

Puis vint le regroupement familial conçu par les traitres mondialistes, pour importer des familles d’Afrique en Europe et en masse puis nos paysages et nos cultures ont été défigurés par des hordes d’envahisseurs, de racailles et de sauvages détestant les Blancs.

@LeContempIateur